Campus Los Angeles [Version 2] Un campus maudit, un démon, des sorcières, des fantômes.... Réussirez-vous votre année, sur le campus ? |
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| Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] | |
| | Auteur | Message |
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Lucas Sm Invité
| Sujet: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Sam 8 Déc - 11:53 | |
| - Par pitié, laissez moi tranquille.
Si l'on pouvait dire ainsi, Lucas joignit le geste à la parole, et sitôt que son téléphone cellulaire se mit à sonner, il ne prit même plus la peine de considérer s'il s'agissait de telle ou telle personne, se contentant de refuser l'appel, d'éteindre son portable, et de le glisser dans le fond de la poche de son jean. Il n'avait vraiment plus aucune envie d'être harcelé, entre les erreurs, les demandes, les répétitives conversations futiles et ennuyeuses qui variait souvent très peu d'un "Salut, ça va ?" à un "Quoi de beau ?" si bien que n'importe qui en aurait eu assez, sans doute même bien avant Lucas. C'était d'ailleurs à croire qu'ils s'étaient tous donner le mot pour l'empêtrer dans de nombreux coups de fil dont il avait fini par ne plus voir la fin. En tous les cas, il venait tout simplement de régler son problème, d'ailleurs convaincu qu'il aurait dû le faire bien avant.]
Tout n’était pas nécessairement aussi simple étant donné qu’il aurait apprécié quelque appel de Zoey ou de Sally, mais il n’y avait rien à faire, sauf si le dernier avait été de l’une ou de l’autre, il s’agissait sans conteste de personne qui indifféraient Lucas ou alors qu’il n’avait aucune envie de voir pour le moment. Peut être un petit peu blasé sur les bords Mr Smith ? L’on pouvait dire ainsi, et le simple fait qu’il ne désire voir que l’une ou l’autre de ces deux jeunes femmes était d’ailleurs extrêmement significatif si l’on prenait en compte le fait qu’il se trouvait être quelqu’un d’ouvert, de sociable, et toujours prêt à écouter les autres. Cependant, les choses n’étaient pas forcément aussi simples que tous aimaient à le croire. Surtout ces temps-ci, Lucas n’en était qu’un peu plus inquiet.
]Alors qu’il arpentait les alentours du lac depuis plus d’une demi heure, son regard se faisait toujours aussi perdu à la surface de l’eau. Les ondulations que le vent laissait entrevoir sur cette plaque liquide, légèrement opaque, ne pouvaient que refléter son état d’esprit. Le temps n’était pas spécialement couvert, mais le vent frais effleurant le visage de Lucas lui indiquait pertinemment qu’il ferait mieux de rentrer sur le champ, se mettre au chaud. Loin d’en avoir envie, il perdurait dans une progression hasardeuse, puisqu’il n’avait aucune destination précise. Pas de cours avant plus de deux heures, deux heures et demi, si bien qu’il se sentait seulement en proie à réfléchir calmement quelques instants. Il alla s’installer sur un banc, sur lequel il s’allongea de tout son long, laissant une de ses jambes debout sur la surface rigide, et l’autre pendre en effleurant le sol.
Ce confort tout relatif semblait lui suffire amplement et il ne tarda pas à sombre dans l’observation des feuilles s’agitant au dessus de lui. Il pensait avant tout à Zoey, et à l’accident qu’elle avait rencontré. Il avait beau accepté le choix de poursuivre qu’elle avait fait, il demeurait inquiet. Son principal souci était d’ailleurs qu’il se soucie toujours des autres, sans nécessairement se prendre en compte. Il la protégeait du mieux qu’il pouvait, mais savait parfaitement qu’il n’était pas infaillible. Ses yeux se fermèrent sur cette pensée, mais il était toujours conscient de tout ou presque. Enfermé dans ses pensées, il laissait le vent balayer les alentours, seul trouble au silence, car ses tourments, s’ils en étaient ainsi, s’emparaient de toute sa conscience.
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| | | Sally Mashlow
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| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Sam 8 Déc - 22:15 | |
| Ce n'était pas une journée des plus belles pour sortir à l'extérieur! Le ciel était tellement gris qu'on pourrait même pensé que toute la poussière s'était accumulée dans les airs et qu'elle avait resté faute du temps bien trop humide! C'est vrai que des journées de la sorte, ils en méritaient un peu! Après tout, il y avait eu du bon temps pendant pratiquement un mois, il faudrait un peu retrouvé une température plus stable au climat de la Californie. Il faut dire que les habitants ne s'en plaignaient pas trop, mise à part les cultivateurs, mais ça déjà en partant, tout le monde se fiche un peu d'eux donc...^^! Alors, de sa chambre, la jeune femme fixait le temps sombre et qui semblait assez venteux. Les nuages étaient là, mais ils ne semblaient pas prêts à laisser tomber quelques gouttes d'eau, peut-être ce soir, mais pas en journée. Avec un livre de Dumas, elle jetait quelque regards furtifs à l'extérieur. Le livre était des plus intéressants, ça elle ne pouvait le nier! Il fallait dire aussi que "Un bal masqué" était une oeuvre assez populaire, mais inconnu de plusieurs personnes. C'est comme l'histoire un peu D'Alexandre et de ce qui se passe à ce fameux bal masqué. Maintenant que la brunette est une lectrice accomplie, elle ne peut s'empêcher de lire et de lire. Bon celui-là, elle y était un peu forcée, mais après une vingtaine de pages, elle ne se faisait plus prier pour lire cette superbe oeuvre. Il faut dire que cette dernière le lisait un peu partout, quand elle en avait la chance. Certaines personnes la trouvait même étrange de lire, comme si elle n'était pas cultivée! Personnellement, l'avis des autres ne la dérangent peu, mais elle est quand même insultée de savoir que quelques étudiants la prenne pour une sans cervelle et surtout complètement naïve, sans parler d'une stupidité énorme. M'enfin...Assis dans un fauteil très confortable, elle continuait de lire dans le silence totale, on était samedi et l'apartement était quand même vide en cet plate après-midi. N'empêche, peut-être avait-il quelque chose de mieux à faire que de relaxer dans un apartement comme le leur. On sait jamais! Le temps passait lentement, l'écriture était assez difficile en comprendre puisque c'était du vieux anglais et Sally n'était pas vraiment à l'aise avec cela. Mais, Lyly s'était déjà beaucoup améliorer à comparer de cette année à l'an dernier.
Puis, son cellulaire sonna en indiquant qu'il était 2 heures. Ce n'était pas vraiment inusité puisqu'à chaque heure, il arrivait le même son routinier. Cependant, à ce moment, elle s'arrêta en mettant bien son signet à la page qu'elle avait entamé et laissa le livre sur la table à café. Elle fouilla dans sa poche pour enfin retrouver son cellulaire. Elle l'ouvrit en regardant ses messages, si quelqu'un lui avait proposer de prendre un café, une invitation dans ce genre-là. Mais non, elle était oprise avec aucun message. Cette situation la démangeait terriblement et elle finit par appeler quelqu'un à l'inverse. Elle appuya sur la touche 1 pour enclancher le numéro enregistrer à ce nombre. Et ce nombre était destiné à Lucas! Ça semblait faire des éternités qu'ils ne s'étaient pas vu, leurs études n'étant pas les mêmes, ils étaient chacun de leur côté très occupés niveau étude et projets. Pourtant, elle savait que le jeune homme n'avait pas cours et que peut-être, ils pourraient se voir. L'étudiante attendit donc une réponse au téléphone, après 5 sonneries, la boîte vocale s'activa et la jeune femme l'écouta, découragée de savoir qu'il n'y avait aucune réponse. Tant pis, elle devrait sortir de chez elle, mais avec un habit plus adéquat. Elle fouilla dans sa garde-robe en prenant sa camisole rayé sur l'horizontale turquoise et noire avec une paire de jean noire. Bien sur, elle n'oublia pas ses fameuses ballerines. Le temps de s'arranger un peu, elle fut dehors dans les alentours de 15 minutes après son coup de fil. C'était assez calme et le vent soulevait ses cheveux. Par moment elle avait froid, mais c'était un vent plutôt sec donc ça ne restait pas très longtemps cette impression. Comme par hasard, la cours fut sur sa route et elle s'y dirrigea, décidant de suivre où ses jambes avaent le goût de l'ammener. Quelques minutes s'en suivent pour qu'elle puisse voir son bien aimé au loin. Elle eut automatiquement un sourire au visage, mais, en même temps elle se posait des questions à savoir s'il avait fait par exprès pour ne pas lui avoir répondu plus tôt! Avait-elle fait quelque chose qui lui ait déplu pour ne pas avoir de réponse au téléphone? Bon elle ne devrait pas trop s'en faire non plus, peut-être n'avait-il juste pas l'envie de le faire. D'un autre côté, peut-être que ça faisait trop longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu pour qu'elle puisse penser à ça...
Elle approcha silencieusement derrière lui et attendut un moment avant d'ouvrir la bouche. Comme il était éttendu sur un banc, elle ne pouvait pas arriver et faire "Hey" en s'assissant sur ses cuisses. Tout de même! Elle éleva enfin la voix en disant
Hey Lucas! | |
| | | Lucas Sm Invité
| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Dim 9 Déc - 13:24 | |
| Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige n’arrêterait pas la réflexion de Lucas, et il se trouvait d’ailleurs dans une telle position qu’il n’osait pas aller voir qui que ce soit, d’autant que se faire plaindre était parfaitement impossible : la fierté qui le rongeait en était plus qu’un frein, il s’agissait d’une barrière. Il ne voulait donc pas affliger quelqu’un de ses propres interrogations ou de ses propres inquiétudes, si bien que la solitude semblait faire le meilleur des amis, au moins pour un temps. Lui qui était si sociable ne le supporterait pas bien longtemps, mais faute de mieux, ces instants-là seraient ainsi, seuls, silencieux, et peut être un peu déprimant avec cela. Il fallait ce qu’il fallait, et c’était une excellente excuse pour lui pour ruminer ses tourments plutôt que d’essayer d’en parler et d’y mettre un terme.
En parlant de temps tournant à l’orage, il sentit une goutte tomber sur sa joue, et rouler doucement jusqu’à son oreille. Les yeux toujours clos il prêtait une oreille attentive au vent qui se promenait entre les branches des arbres, et sur la surface opaque du lac. La météorologie ne lui faisait aucun effet, car il semblait retirer un moment de paix, peut être très court, mais il était bel et bien là, et la satisfaction qui l’en retirait était bien suffisante pour qu’il n’ait aucune envie de partir, sinon de rentrer tout de suite. Il tentait par tous les moyens de penser à rien : assez paradoxal quand il fallait se dire qu’on devait « penser » à « ne penser à rien ». Quoi qu’il en soit, et peu d’humeur philosophique, Lucas profitait de cette sorte de silence qui n’en était finalement pas vraiment un.
Une voix vint percer ce silence imposant, et contrairement à ce qu’il aurait pu penser, il en fut agréablement surpris. Il entrouvrit vaguement un œil pour s’assurer d’avoir bien reconnu qui de droit, et un large sourire finit par se dessiner sur ses lèvres quand la vision de Sally s’offrit à lui. Il ne cacha pas sa satisfaction et ne tarda pas non plus à se redresser, clairement assis, de façon à pouvoir d’autant mieux la contempler. Elle était toujours égale à elle-même, mais Lucas ne pouvait pas réprimer ce genre de petites observations qui lui rappelait – d’abord physiquement parlant – toute la chance qu’il avait d’avoir une telle petite amie près de lui. Lui adressant donc un sourire, il lui tendit simplement la main :
- Viens.
Plus il la regardait et plus il prenait conscient qu’une sorte d’impression étrange le parcourait. Il s’agissait en réalité d’un manque que l’inquiétude pour Zoey semblait avoir occulté pendant un temps, et après réflexion, cela devait bien faire une petite décennie qu’ils ne s’étaient pas réellement vus. Les cours leurs prenaient respectivement beaucoup de temps, et ce n’était pourtant pas l’envie qui manquait à Lucas, et le concours de circonstances faisait que leurs entrevues étaient très rares. Il aurait aimé pouvoir y remédier mais ce n’était pas si simple.
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| | | Sally Mashlow
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| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Dim 9 Déc - 19:30 | |
| Avant même de voir la réaction de Lucas à sa saluation, la jeune femme avait plutôt détourné le regard sur le ciel qui s'était dangereusement assombri depuis la dernière fois que la jeune femme y avait jeté un coup d'oeil. Non, ses prédictions ne s'averrèraient plus aussi justes qu'elle l'aurait cru pensé. Les nuages n'était plus gris, ils étaient carrément noirs! On se croyait un peu dans un film d'horreur. Heureusement, Mademoiselle Mashlow n'est pas du genre à être effrayée à rien, ça lui en prend énormément. La plupart des films d'horreurs qu'elle visionne sont barbants à ses yeux et tous très mal fait. Alors ce paysage à côté de ses films, vous devez vous imaginez que la brunette n'en avait rien à cirer. Donc, sur ce ciel gris qui se couvrait, elle put donc sentir une goutte d'eau glisser dans son dos et pour ensuite finir sa course à l'intérieur de sa camisole. Ah la pluie, depuis déjà près d'un an qu'elle est devenue sa température préférée. Même le soleil n'avait pas d'égal à ses yeux, non les précipitations semblaient être quelque chose qu'elle avait développé en elle. Trop compliqué à expliquer ainsi, mais bon. Du coin de l'oeil, elle regarda d'autres petites gouttes suivrent, mais elles n'étaient pas régulières donc l'étudiante sans contre fichait un peu. De toute façon, si elle devait attrapé un rhume, elle le ferait. Elle eut un sourire plutôt satisfait, très même. On dirait qu'elle était sous l'extase de la météo. M'enfin, faut vraiment pas essayer de comprendre! Puis, elle reposa son regard sur le jeune homme et put voir qu'il avait légérement ouvert les yeux, suivit de son fabuleux sourire qui la faisait craquer. Toutes les craintes qu'elle avait pu se faire tout à l'heure ou encore toutes ses questions qui lui avaient rembourrées le crâne, tout ça était oublié. Sally ne voyait pas comment elle pouvait douter de son copain et elle savait qu'elle n'avait plus besoin de s'en inquiéter. De toute façon, si quelque chose arriverait, elle serait probablement au courant. Il faut dire que Mirster Smith n'était pas du genre à laisser les choses sur la table, une fois commencé, il en était très difficile de décrocher. Surtout que le mieux s'est d'être terminé. Mais bon, c'était juste une petite paranthèse comme cela. À la vue de son sourire, Lyly aggrandit le sien puisqu'elle aussi, ne pouvant pas le cacher, était vraiment heureuse de l'avoir retrouvé son Lucas adoré.
La jeune femme avait l'air un peu bête de rester planter là à le regarder. La brunette devait agir et au plus vite! D'autant plus qu'il avait pris la peine de s'asseoir pour lui faire une place. Se grattant la tête, elle préféra attendre une invitation avant d'aller le rejoindre sur le banc. Après tout, s'imposer n'avait jamais été dans ses intentions. D'un côté, s'il voulait réfléchir seul, elle pourrait le laisser tranquille. Cependant, je ne vous cacherai pas que Sally en aurait sûrement été déçue...voir très déçue. Il lui prononça donc son premier mot depuis longtemps "Viens". Il lui tendit donc la main et la jeune femme la prit pour s'asseoir à ses côtés. Et hop, une autre goutte tomba du ciel et vint se poser sur la joue de cette dernière. Elle l'essuya machinalement et regarda Lucas avec un sourire réconfortant et très heureux, mais il n'était pas un "heureux" exagéré. Donc voilà, elle décida d'appuyer sa tête sur son épaule, comme sa faisait très longtemps qu'ils n'avaient aucun contact physique ensemble. Le début de l'année scolaire n'avait pas été comme la jeune femme l'aurait totalement souhaité. Son Lucas à elle, s'il n'était plus aussi présent qu'avant, ça lui fendait le coeur. Ils ne pouvaient quand même pas se perdre de vue! Oh non et soyez certain que Miss Mashlow fera tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas que ça l'arrive. Après un moment , elle perça enfin le silence qui se faisait plutôt réconfortant pour elle
Je m'ennuyais de toi.
Elle releva un peu la tête et soutenut son regard. | |
| | | Lucas Sm Invité
| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Dim 9 Déc - 20:17 | |
| Peu importait ce qui pouvait bien les entourer, plus Lucas regardait Sally et plus il se disait que les choses étaient aussi simples que l’on voulait bien se les voir simplifier. Après tout, ne disait-on pas « Quand on veut, on peur » ? Beaucoup savent l’affirmer avec brio, mais Lucas reconnaissait que le temps passant entre eux se faisait cruel quand il y pensait le moins, puisque chaque fois que son esprit la lui rappelait, il prenait un malin plaisir à s’en satisfaire. L’on pouvait considérer cela comme étrange, mais le jeune Smith avait appris à faire avec ce qu’il avait, et en l’occurrence, il avait surtout le manque, rien de mieux. Un autre diction populaire disait que « L’on ne connaît la vraie valeur des choses qu’une fois qu’on les a perdu ». Lucas espérait réellement que ce ne soit pas le cas, car il n’avait aucune envie que le temps et les circonstances prennent ce qui existait entre Sally et lui, et Lucas était sans doute prêt à plus de choses qu’on ne pouvait le soupçonner pour que même l’absence n’anéantisse rien.
Un regard posé sur elle suffisait à son bonheur, c’était tout simplement atterrant voir même consternant pour certains. Lucas savait pertinemment qu’il ne pouvait pas compter toutes les filles avec qui il était sorti sur les doigts de ses deux mains, mais il savait que pour compter celles qui l’avaient littéralement envahi au point de ne plus comprendre pourquoi et de s’en moquer en ce sens ne se comptait que sur un doigt, et c’était bien Miss Mashlow. Incapable de décrire l’effet qu’elle lui faisait, Lucas s’en moquait en réalité. On n’expliquait pas cela, on se contentait sottement et docilement de l’apprécier, car il aimait qu’elle lui rappelle à quel point il ne mesurait pas toujours sa chance d’être avec une jeune femme aussi exceptionnelle. Raide dingue amoureux ? Il aurait été capable de l’affirmer et de le confirmer pendant des heures, et surtout à tout le monde.
Il la laissa venir à lui. Son regard était toujours totalement pour elle, et Lucas se rendait chaque seconde passant plus compte du manque qu’il avait tellement occulté. C’était tout lui : toujours cacher ses propres tourments derrière ceux des autres, en espérant les oublier ou les détruire de cette façon, mais, quoi qu’il arrive, ils finissaient pas revenir, car tel était la dure loi des sentiments. Elle vint s’asseoir à côté de lui, et déposa sa tête sur son épaule. Lucas posa un regard oblique sur elle, et garda simplement le silence. Cela faisait si longtemps qu’il ne l’avait pas senti si près de lui, et quelque part, plus que son plaisir psychologique, il était aussi conscient du simple et pur désir qui l’animait. Il croisa enfin son regard quand elle le gratifia de sa réplique, et il ne tarda pas non plus en réponse :
- Tu me manques beaucoup aussi.
Son sourire avait laissé place à une sereine sincérité, exprimée dans son regard. Il était réellement content de la revoir, mais rien ne pouvait l’empêcher de penser que ce moment se verrait n’être qu’un instant éphémère, et que bientôt ils se sépareraient encore, pour se revoir d’ici on ne sait trop combien de temps. L’idée l’insupportait déjà, alors la perspective. Il avait une franche envie de passer un bon moment seul avec elle, quitte à ce que cela soit court, il se devait d’en profiter tant qu’il le pouvait.
- J'étais injoignable mais tu m'as tout de même trouvé. Remarquable.
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| | | Sally Mashlow
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| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Mar 11 Déc - 7:51 | |
| Sally fixait toujours ses beaux yeux. Elle avait le don de se perdre dedans. Eh oui, la jeune femme était vraiment quelqu'un qui avait la facilité d'oublier un sujet de conversation devant de si belles choses. Il fallait tout de même que j'explique que la profondeur et l'intensité de la couleur des yeux du jeunes hommes absorbait complètement la jeune femme dans un autre monde. Même que parfois, elle pouvait avoir un petit couli de bave sur le menton. Évidamment, exemple un peu fictifparce qu'elle n'est pas si charmée que ça, mais le cas serait plausible. On ne sait jamais ce qui pourrait bien arrivé! Note à elle-même: Ne plus tomber dans la lune pendant qu'elle contemple les pupiles de son amoureux. En même temps, ça faisait tellement longtemps que son regard n'avait pas plonger dans le sien, il était normal que cette dernière voulait se rappeler quel sentiment ça pouvait bien faire de ravoir ses yeux dans les siens. Eh oui, Sally ne pouvait pas compter tous les jours qu'ils avaient manqué ensemble. En tou ca, elle savait que ça faisait plus que deux semaines. Comment des gens aussi proches pouvaient se perdre de vue? Il faut dire qu'ils étaient présentement dans une période corriace de l'année où le social ne battait pas son plein. N'empêche qu'elle aurait pu faire quelque chose pour que ça l'arrive. Là un autre problème survient, il était très difficile de rejoindre Mirster Smith en ce moment. Pour preuve, elle n'avait pas réussi à le rejoindre sur son portable pas plus tard qu'il y a une trentaine de minutes. Ce n'était que par un coup de chance qu'ils s'étaient croisés. Si ça n'avait été que de cela, peut-être n'auraient-ils pas vu leurs jolis minois pour encore un bon nombre de jours. Lyly connaissait plusieurs phrases qui disaient "Loin des yeux, loin du coeur". Toutes phrases qui mettaient des mises en gardes vis-à-vis ceux qui s'en approchait trop. Vous pouvez bien être certain que l'américaine ne fera pas partie de celle qui perdera son amoureux. Oh non! Elle l'aimait son Lucas et à quelque part, elle savait que c'était réciproque. Donc, là-dessus, elle n'avait absolument rien à craindre. Reste à avoir si l'un d'autre eux prendra les reines pour règler cette histoire une fois pour toute. Mais une chose à la fois, on profite du moment présent et après les grosses questions surviennent. Sur le coup de l'émotion, la brunette ne peut pas gérer plusieurs choses.
Son coeur faisait rendre ses mains un peu moites, mais juste en les essuyant sur ses Jean, tout partait instentannément. Le manque d'une personne n'avait jamais été aussi présent dans son coeur. Il faut dire qu'ils avaient pratiquement passé tout l'été dernier ensemble et que les vieilles habitudes avaient comme laisser une cicatrice permanente dans leur coeur pour les marquer à vie, probablement. Les gouttes commençaient à tomber, de façon irrégulière et gâchait un peu l'embiance de silence qu'ils avaient installé peu de temps avant la météo changeante. Néanmoins, l'étudiante avait autre à faire que de se plaindre de telles sotises. Il y a plus important et il est juste en face d'elle. Lorsqu'elle lui avait fait part de ses émotions des derniers évennements, il s'était empressé de lui répondre " Tu me manques beaucoup aussi." Aussitôt dis, Mademoiselle Mashlow sourit, un sourire franc et sincère. On ne pouvait peut-être pas voir ses dents, mais toute l'émotion de bonheur, de satisfaction et surtout de sécurité lui fit sourire d'un air absolument magnifique. D'un même sens, elle était rassurée de savoir qu'il n'allait pas la laisser tomber. Cette dernière n'y avait jamais changé, mais vaut mieux prévenir que guérir. En plus, il lui avait rendut son sourire, ce qui lui avait fait beaucoup de bien. Il était chaleureux et remplit d'honnêté, tu ne pouvais pas voir un visage à deux faces derrière cela. De toute façon, l'ex pompom girl a bien fait le tour de sa personnalité pour s'être assurée qu'il n'est pas un de ses arnaqueurs qui mentent comme ils respirent. Même s'il mentait, Lyly ne voulait pas le savoir. Trop aveuglée pour l'amour, savoir que peut-être il y avait quelqu'un d'autre pourrait la mettre hors d'elle. Mais encore une fois, jamais, même pas une fraction de secondes, cette idée lui avait frolé l'esprit pour y resté pris comme un puissant démon encré dans notre tête. Quelques minutes s'en suivent et il continua la conversation avec cette phrase "J'étais injoignable mais tu m'as tout de même trouvé. Remarquable." Il est vrai que c'était hallucinant qu'ils aient pu se trouver. À son grand bonheur, évidamment. Mais bon, ce ne sont que des détails. L'histoire complète allait surement être un mystère pour le jeune puisque Sally avait le goût de sortir une sorte de phrase assez mystérieuse comme elle aimait le faire. Après tout, ce n'est pas la magie de la chose?
Peut-être simplement que tout les chemins mènent à toi?
La belle brune continua de lui sourire avec des yeux pétillants. Bon, ça faisait presque romantique manqué, mais il fallait avoir la capacité de voir au-delà de sa parole et voir encore plus loin. Ça va paraître assez cliché, comme dans plusieurs films d'amour, mais si Lucas était capable de voir une autre phrase cachée dans celle qu'elle avait dite, tant mieux et ça ne sera que bénéfique pour le couple. Du coin de l'oeil, elle jeta un bref coup d'oeil au lac qui recevaient des gouttes dans son bassin. On les voyait attérir et produirent un cercle autour d'elles. Vraiment féerique comme embiance et surtout remplit de souvenirs. Ça serait bien trop long à expliquer, mais si ça peut vous donnez un indice, la jeune femme avait souvenir d'une certaine goutte d'eau sur son homoplate droite qui évoquait une fraîche mémoire encore pleine de vie. Passon...^^Elle regarda les alentours, plus aucun étudiant n'était sur place à présent. Tous sauf eux, bien entendu. Les étudiants avec leurs cahiers ouverts devaient se maudirent d'avoir décider d'aller étudier dehors avant même d'avoir ouvert la télévision pour regarder la chaîne météo. À cette idée, Miss Mashlow eut un petite sourire moqueur qui s'effaça aussi vite qu'une automobile de formule 1 passe devant une foule applaudissant. Juste le fait d'être seul avec son copain, lui donnait une impression de grande intimité. Enfin seuls, juste eux. Même si la fac contenait beaucoup, beaucoup d'élèves, ils avaient la chance d'être seuls, pour une fois. Elle eut une pensée soudaine, sur le moment, se souvenant qu'elle n'avait jamais encore dit quelque chose qu'elle portait encore lourdement en elle.
T'ai-je jamais dis que je t'aimais? Si j'ai oublié de le faire, j'aimerais que tu saches que je t'aime, c'est vrai. Mais je ne fais pas que juste t'aimer, je fais bien plus que cela...
Elle le fixea à nouveau dans les yeux en abordant un air très sérieux. La pluie avait fait baissé le volume de ses cheveux bruns et les avait trempés. Son visage était recouvert d'eau, il paraissait très doux. Elle s'approcha de lui alors et pencha légèrement la tête et ferma les yeux en approchant toujours les lèvres. Elle embrassa Lucas, comme si c'était la première fois et peut-être même la dernière. Il y avait si longtemps et la jeune femme avait bien appris à profiter du moment présent, pour ne pas regretter nos actes par la suite. | |
| | | Lucas Sm Invité
| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Mar 11 Déc - 18:51 | |
| - Peut être.
Admit-il en souriant malicieusement comme il en avait parfois l’habitude, dès qu’il se gardait bien de dissimuler une seconde réplique qui ne tardait jamais à venir. De nature parfois un peu joueuse, Lucas était surtout de temps à autre un peu enfantin, mais rien ne pouvait remplacer ces instants de complicité qu’il aimait partager avec Sally, et qui, pourtant, se faisaient de plus en plus rare, et ainsi de plus en plus cher à ses yeux. Se retrouver seul avec elle semblait être un miracle désormais, et il le déplorait sans doute bien plus qu’il ne voulait l’admettre. Cela lui ressemblait de tout façon. Il préférait occulter ce qu’il savait être ses tourments et ses problèmes, en se penchant sur ceux des autres, en essayant de se jouer avenant, mais finalement, lorsqu’il se trouvait devant le fait accompli, Lucas n’avait plus qu’à se résigner à la simple et parfois même cruelle réalité. Car, en effet, le fait était bien là, Sally lui manquait énormément, quoi qu’il en dise ou fasse, et si cela continuait dans la même direction ardue, il savait qu’il y aurait fort à parié que rien n’irait plus justement, et il ne comptait pas le permettre si facilement. Quoi qu’il en soit, sa réplique parvint enfin à ses lèvres, qu’il lâcha avec un sourire toujours aussi prononcé qu’auparavant.
- Ou peut être cherche-tu volontairement à n’emprunter que les chemins qui mènent à moi ?
Demanda-t-il avec une touche un peu amusée dans la voix. C’était honnêtement tout ce qu’il espérait, peut être même avec une pointe d’égoïsme finalement. Lucas avait souvent des attitudes romantiques, en tous les cas, il poussait toujours les malices au romantisme, sinon au vice qui les accompagnait. Jouer de la séduction et de l’amour qu’il aimait accorder à Sally était une de ses activités préférées, en fin de compter. Il ne fallait pas chercher bien loin, conserver ce comportement lui donnait l’impression – à tort ou à raison – qu’il ne cessait jamais d’apprécier la jeune femme, de l’aimer, et finalement de la découvrir toujours un peu plus. Bien sûr, il se connaissait très bien, ils étaient très complices, proches et tout ce qui allait avec – car mis à part Zoey personne ne le connaissait aussi bien que Sally pas même sa sœur d’ailleurs – et c’était justement ce qui était plaisant : savoir qu’on ne sait pas vraiment tout l’un de l’autre, et sans que cela ne porte préjudice, l’on pouvait aisément s’en délecter.
Alors que Lucas profitait du regard clairement envoûtant de sa petite amie, il perçut des paroles qui lui semblèrent d’abord frappantes, puis étranges pour lui être enfin agréables. Lui avait-elle déjà dit ? Il se maudit et se borda mentalement d’injures pendant plusieurs secondes car il aurait tout simplement été incapable de dire si « oui » ou « non » elle lui avait déjà prêté ces mots-là. Il s’accorda à penser que bien sûr que oui, et finalement, il regrettait amèrement de ne pas en avoir eu la certitude immédiate. Honteux ? Peut être un peu, mais il voulait tant se montrer « à la hauteur » qui semblait quasiment prêt à se mettre des doutes et de la culpabilité à dos pour pas grand-chose. Elle avait d’autant plus posé sur lui un regard qui voulait clairement dire « Mademoiselle Mashlow est on ne peut plus sérieuse, tu n’as pas intérêt à te rater » et il s’en sentait définitivement plus mal à l’aise encore. La chose en elle-même n’était pas si dramatique, mais ajoutée au fait qu’il savait pertinemment combien il l’avait négligé depuis plusieurs jours, Lucas ne démordait pas de son affreux sentiment coupable.
Pour mieux effacer le nœud qu’il avait désormais fiché au creux de l’estomac, il la laissa s’approcher avec tendresse. Lui qui l’enlaçait toujours à moitié était littéralement figé, mais il sentait aussi combien toutes les émotions qui le parcouraient s’envolaient lentement vers on en sait où. Lucas aurait presque pu avouer avoir oublié le goût qu’avaient les lèvres de Sally, l’odeur enivrante qu’elle déposait chaque fois sur lui, le doux contact qu’elle émettait sur lui et qui ne lui semblait cruellement inaccessible que lorsqu’il était près d’elle. Une confortable chaleur s’étendit du sommet de son crâne jusqu’au reste de son corps, et un sentiment étrange, pénétrant et totalement agréable s’installa paisiblement, tant dans son corps que dans son esprit. Lucas ajouta sa propre note de tendresse, d’amour puis de passion à ce baiser, car il lui sembla que trop de temps s’était écoulé depuis le dernier. Il prolongea d’ailleurs avec grand plaisir, peut être avec une certaine gourmandise également, tandis que sa main libre venait effleurer la joue de la jeune femme, se glissant doucement dans ses cheveux.
Dieu que le temps passait bien trop vite lorsqu’on le voulait le moins ! Lucas blasphèmerait sans doute un autre jour sur cette injustice, mais pour le moment, il comptait attendre la prochaine occasion qui lui permettrait de réitérer ce geste. Pour la continuité des évènements, Lucas voulait optimiser ses chances de passer le plus de temps possible avec elle, et il était sans doute prêt à tout pour cela. Assez curieux finalement de savoir qu’il n’avait pas besoin de grand-chose pour se rendre compte de tout, et pour s’imposer les mesures nécessaires au rétablissement de la situation qu’il jugeait inacceptable. Pour l’heure, il mit doucement un terme à ce baiser, rouvrit malgré lui les yeux, pour lui dédier quelques mots :
- Je t’aime aussi, Sally. Sans doute même plus qu’il n’est permis d’aimer.
Il pensait tout ce qu’il disait au mot près. Parlant toujours avec son cœur – même si cela desservait parfois ses intérêts – Lucas était doué d’une sincérité remarquable, et qui le perdrait peut être même un jour, mais qu’importe. Il était au moins en paix avec lui-même, car sa culpabilité n’aurait jamais de rapport avec son honnêteté. Il était loin d’être blanc comme neige, lui aussi avec ses vices et ses péchés, mais le mensonge n’en était au moins pas un, et il rendait grâce à son caractère tous les jours pour cela. La sincérité n’était d’ailleurs pas tout le temps un atout, mais quoi qu’il arrive, il savait que ses yeux le trahiraient toujours, quoi que sa bouche prononce. Le silence était d’ailleurs le meilleur des informateurs, et le pire des « collabo » pour Lucas. Il finit par reprendre, sourire malicieux s’agrandissant progressivement au bord de ses lèvres, émettant parfois quelques hésitations, parfaitement volontaires :
- Le temps se gâte sérieusement, et je m’en voudrais que tu sois malade pour avoir erré sur tes quelques chemins … alors … si tu connaissais un endroit un peu plus au sec où nous pourrions … disons … passer un peu de temps juste toi et moi, je ne serai pas contre.
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| | | Sally Mashlow
Nombre de messages : 906 Age : 33 Age du perso : 22 ans et toutes ses dents! Groupe : Bêta Citation : Why me?! Date d'inscription : 01/12/2007
Me & The Faculty Affinités: Réaction face aux événements: En danger potentiel
| Sujet: Re: Qu'importe l'heure ou le lieu [PV Sally] Mer 12 Déc - 3:13 | |
| "Tous les chemins mènent à toi", cette phrase venait du profon de son coeur. L'honnêté qui émergeait son coeur avec cette phrase était presque indescritible. D'un moment à l'autre, elle avait le goût de chuchoter son amour et pour ensuite, le crier bien haut sur tout les toits comme une cinglée qui a gagné à la loterie. En même temps, la jeune femme n'avait pas trouvé la phrase par son cru, malheureusement. Il y avait une petite histoire derrière tout cela. Tout d'abord, comme la jeune femme était une passionnée des films, un vrai monstres des clubs vidéos, bref une cinéphile, elle avait loué un de ses films préférés d'amour intitulé: Les pages de notre amour. Upar ses paroles. Si divin, à chaque mot qu'il prononçait, elle savait qu'elle était la plus gâtée du monde.Un classique mettant en vedette Rachel McAdams. Comme elle connaissait le film par coeur, elle s'amusait à réciter leurs textes en même temps qu'eux, disons pour se faire un peu de plaisir. À un moment donné, elle décida de visionner les scènes retirés et parmis elles, on pouvait voir une scène des deux amoureux sous un vieil arbre et l'actrice avait récité cette phrase avec tellement de sincérité. On y croyait dur comme fer et ça semblait tellement senti, on dirait presque qu'on avait un fait vécu, tourné en direct. Sally, les yeux rivés sur l'écran et tellement marqué par cette phrase, versa facilement quelques larmes. Sois dis en passant, la scène n'avait duré que 1 minutes et quelques poussières, mais rien de bien long. C'était juste pour prouver la sincérité de leur amour. Parfois, Lyly se demande si ce genre d'amour pouvait exister. Bien que celui de Lucas et elle soient sémiliaires, il y avait quelque différences. Alors c'est pourquoi, des fois à leur du couché, elle y pense avec un air songeur et s'endore profondément sur ses hypothèses. Le visage de Lucas qui fixait bien le sien, comme elle faisait, semblait adopté progressivement l'attitude joueuse qui amusait beaucoup la jeune femme. Il ne semblait pas trop se plaindre à jouer ce petit jeu. Il y avait tellement de fois où les individus s'amusaient à se dire des phrases très charmantes et parfois ça tourne vraiment dans le...Hum hum, disons seulement que ça fait monté le thermostate de la pièce et qu'ils éprouvent une certaine chaleur vis-à-vis l'autre. À sa réponse très romantique, le visage de la brunette s'attendrit et elle se laissa littéralement charmer par Mirster Smith. Non mais? Comment résister à ça franchement? Elle eut un petit sourire en coin en acquissant de la tête. C'est vrai qu'elle avait beaucoup espéré le recontrer, mais encore fois s'était le bien fait du hasard qui les avaient réunis.
Sally avait élancé sa phrase qui avait semblé troublé un peu le jeune homme. C'était un trouble qu'elle ne comprenait qu'à moitié. Il faut dire qu'elle n'avait pas chercher aller creuser en pronfondeur. Sa curiosité avait des limites! Même si ce trouble n'était guère rester longtemps, elle s'inquiétait pour lui. Pas seulement aux faits du point de vue de leur couple, mais d'en général. S'il allait bien, s'il avait besoin de quelque chose, qu'arrivait-il avec lui, toutes ce genre de questions avaient fait plusieurs fois réfléchir la demoiselle qui se penchaient souvent sur la question. À certain moment, elle essayait de deviner quelle humeur pouvait-il bien avoir à un tel moment. Seulement pour vérifier si elle était connectée avec lui. Ses essaies avaient toujours été approximatifs, pour être sur de ne pas échouer, mais d'un autre côté, ne sachant pas la réponse, ce petit jeu s'averrait rapidement ennuyant et perdait son sens, elle oubliait pourquoi elle avait autant de plaisir à y jouer au départ. Après tout, vous la verriez l'appelez en plein milieu d'un cours et de risquer de se faire raccrocher au nez, surtout pour une question idiote. Tout cela pour dire qu'elle se préoccupe de ce dernier comme s'il se préoccupe d'elle. C'est un comportement tout à fait normal si on compare l'importance, l'attachement et le questionnement vis-à-vis des connaissances et des personnes proches. On devine facilement que tout varie d'un sens comme de l'autre. Ne cherchez plus, cette affirmation tourne un peu en bourrique. Pour revenir à la connaissance et demie, hey bien elle savait que sa question devait lui avoir fait un sérieux questionnement. C'est vrai qu'un premier Je t'aime remonte à très loin, si on compare leur longivité de couple. Ils étaient ensemble depuis le mois de janvier et on était décembre, ça faisait presque un an. Alors, cherchez tous les mots qui ont pu être prononcés par l'autre sont assez complexes à se rappeler. Pas qu'elles n'ont pas d'importance, mais il faut que ça marque au départ et peut-être qu'à ce niveau, les amoureux ne s'en sont par rappelé à cause, qu'à l'intérieur d'eux-même, ils savaient que c'était réciproque. Pas besoin de prononcer quelques mots, c'était déjà compris. M'enfin, ce qu'elle ne comprenait pas c'était le fait qu'il n'est pas plus s'en rappeler. D'un côté, elle n'en avait rien à en cirer, ça l'arrive d'oublier. D'un autre point de vue, le beau châtain avait une mémoire d'éléphant, oublier quelque chose de la sorte la mettait un peu insécure. Mais bon, ce détail disparut vite de son esprit...
Toujours sans réponse, la jeune femme avait commencé à s'approcher de ses lèvres et avaient fermer ses paupières beiges et un peu peinturé de maquillage gris, elle avança les lèvres naturellement, se laissant émenter pour l'attraction de Lucas. Elle ne tarda pas à coller son nez, un peu comme un point d'appui pour le sien et pencha légèrement plus la tête pour que les lèvres se touchent. Avant même de les toucher, on dirait qu'elle pouvait sentir l'exitation de ses lèvres qui n'attendaient que ça, toucher celle de l'individu masculin. Une fois le contact entreprit, ce baiser fut très intense et fort en émotions palpitantes. Ses bras eurent des frissons qui faisaient élevé sa peau mouillée par les "larmes du Bon Dieu". Tout son coeur, sa passion et l'incousiance du temps la laissait perdre dans ce baiser vraiment des plus agréables. C'était bien qu'elle n'y pense pas trop, sinon, si ça l'avait été le cas, ça n'aurait surement pas été pareille et le baiser n'aurait pas surement été apprécié des deux personnes. À demi dans les les bras du jeune homme, elle chercha un peu de chaleur du son corps, du moins ce qu'il en restait, pour s'y accôter et lui montrer qu'elle était présente pour lui et il serait très difficile de la faire changer d'avis. Au plus grand bonheur des amants, ils prolongèrent le baiser en étant plus langoureux et surtout...plus romanesque. La pluie qui glissait sur leurs visages, sur leurs vêtements rendaient l'embiance absolument divine, un vrai rêve. Si on avait pris une photo, ça l'aurait surement été un grand wow. Ça faisait longtemps que Lyly n'avait pas mis ses soucis de côté, ses évantuels projets pour enfin oublier un peu et se laisser aller. C'était son genre, se laisser aller. Mais avec les cours, les professeurs leur mettaient des bâtons dans les roues, ce qui provoquait un désiquilibre de la personnalité. Dire qu'un simple baiser pouvait tout changer. Pardonner le language, ce n'est pas qu'un simple baiser, mais de loin le plus beau que j'ai vu de ma vie. J'envie même cette jeune demoiselle, ah la chanceuse! Comme on dit "Toute bonne chose à une fin". Ah cette phrase, la phrase que nous détestons nous faire dire en pleins moments d'extases. Tout doucement, mais tranquillement surtout, il décolla ses lèvres des siennes et l'ex pompom girl eut un brin de déception, mais accepta tout de même la situation.
À la suite du baiser rompu, l'étudiante de 22 ans réouvrit les yeux et contempla la belle silouette du jeune homme avec un sourire bourré de tendresse et d'amour. Il lui avait répondu la même chose, très sincèrement. Il ne pouvait pas mentir, sinon elle l'aurait lu dans ses yeux s'il le faisait. Elle mit doucement sa main sur sa joue et lui chuchota donc cette réponse
Ça me touches beaucoup ce que tu me dis là et je dois même ajouté que si on pouvait mourir d'amour, j'aurai surement mourru dès la fois où je sais que tu serais toujours là pour moi.
Ils se lançaient des fleurs à tour de rôle, s'en arrêter de roucouler d'amour l'un envers l'autre. La jeune femme aimait bien jouer au jeu de la séduction et de savoir que les belles récompenses de ses actes pourraient leur apporter bien plus que quiconce pourrait s'imaginer. Même si elle adorait sa présence, elle ne se cachera pas qu'elle avait un certain froid et que la peur d'attraper le rhume devenait une obsession petit à petit. Il faut dire qu'il n'est pas très agréable d'avoir le nez qui coule et surtout qu'il est tout rouge à force de se moucher avec des tissus en papier pas très agréables pour leurs narines! Enfin bref, surtout qu'elle portait un camisole et que la pluie n'était pas particulièrement chaude, mais plutôt glaciale. Ok, peut-être pas autant que si on allait se baigner dans la mer situé juste à côté de l'Alaska, mais assez froid pour pouvoir manquer de cellule réchauffantes. Avec une chance inouïe (quoique non puisque peut-être que lui aussi), il décida de rentrer à l'intérieur pour profiter plus agréablement de leur rencontre. Abordant un sourire des plus heureux, elle se leva sans bruit et commença à courir sous la pluie en attendant bien sur qu'il vienne la rattraper. MDR! Jeu enfantin, assez romantique auquelle la demoiselle aime bien jouer à grande répétition. Lorsqu'il la rattrapa elle se mit à rire, son rire bien amusant qui réussit à mettre un sourire, même au plus malheureux. Elle lui dit avec sa douce voix
Mon apartement est vide et on pourra être intime. Mes colocataires sont sortis pour la journée. Il n'y aura que toi et moi... | |
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