[ Libre ] Tout un monde

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<< La vie passe, et je n'ai rien vu passé. >>
Son ecouteur dans les oreilles Ambre écoutait le roi soleil magnifique chanson, qu'elle adorait chanter d'ailleurs et tout doucement elle murmurait les paroles en chantant mais pas assez fort pour que quelqu'un qui soit loin l'entende. Attendez un peu trop timide notre Ambre. Ces dernières jours, elle avait été trés peu présente du moins en public. C'était la grande déprime malheureusement, Amy, Roxanne... Pourquoi pensait t'elle a elles en se moment ? C'était plus fort qu'elle, les filles lui manquait mais Ambre se ruinait la santé pour elles alors elle restait sagement dans son coin sans vraiment protester ou dire quoi que se soit.
Comme l'apprenait la chanson la vie passait sans qu'on ne voit rien et c'était tout a fait ce que ressentait Ambre et ce qui faisait vraiment trés mal. Elle ne pleurait pas, oh sa non ! Elle c'était promis depuis la mort des filles de ne jamais pleurer et elle avait tenus cette promesse aussi dure soit t'elle. Ses parents a cette epoque lui avait proposé de rentré chez elle pour se changer les idées mais Ambre n'avait pas accépté. Elle préférait rester là seule a se ronger les sangs. Enfin bref. Seule sur cette colline elle regardait le vide sans vraiment l'aimer, en quelque sorte il l'appelait mais jamais elle ne l'écouterait.
Être là aujourd'hui lui faisait penser qu'elle n'avait peut être tout simplement pas pris les bons choix lorsqu'elle en avais a prendre, mais pourquoi les choix a prendre était t'il si difficile pourquoi personne ne les faisait parfois a notre place ?
Pourtant Ambre était heureuse et pas malheureuse, alors pourquoi se retrouvait t'elle là a réfléchir a des choses qu'elle n'aurait jamais réfléchis en temps normale.
Fatigué de penser elle garda ses ecouteurs dans les oreilles et les pieds dans le vide de la colline elle allongea le reste de son corps avant de fermer les yeux et de chanter toujours un peu.

Errant un peu au hasard sur la plage, un cahier sous le bras, Jordan allait les yeux ouverts mais on pouvait se demander s'il ne rêvait pourtant pas. Pour ceux qui ne le savaient pas, Jordan avait une passion, c'était le dessin ; c'était donc pour cette raison que quiconque le croisait le voyait avec un cahier sous le bras. Comme un lecteur avait toujours un livre avec lui, comme un écrivain avait toujours un cahier et un crayon avec lui, comme un chanteur pouvait avoir toujours écouter de la musique en toutes circonstances, Jordan lui, c'était un cahier et un crayon gris. Son air rêveur de l'instant venait essentiellement d'une lettre qu'il avait reçu de son frère, Billy qui lui annonçait la nouvelle de la publication prochaine de son second roman, un récit mi-autobiographique mi-fiction. Cette nouvelle lui avait fait revenir de tendres souvenirs de son enfance, où lui et son frère avait fait le projet dès leur 11 et 13 ans de travailler ensemble plus tard, lui au crayon, Billy à la plume.
Son pied heurta un caillou, ce qui fit dévier son esprit de ses pensées et il s'arrêta un moment devant l'immensité de la plage et de la mer devant cette lande jaune et chaude par cette journée ensoleillée. Cédant à son envie d'immortaliser ce paysage sur son calepin, il s'arrêta, sortit son crayon et dessina le paysage devant lui. Un rapide croquis au fins et vifs coups de crayon qui prit vite forme et vie sous sa main, cette main en attente d'exercice depuis si longtemps. Cinq minutes seulement plus tard, il recula son cahier de ses yeux et laissa son regard errer sur la feuille à la recherche des moindres détails que ceux-ci avaient captés sur le vrai paysage.
Satisfait, il rangea son cahier sous son bras et le crayon gris dans sa poche, et se remit à marcher d'un pas lent et tranquille sur la plage. Il arriva bientôt au pied d'une colline qui surplombait la plage et levant les yeux s'aperçut de la présence de deux pieds qui dépassait du bord de la colline. Il se demanda à qui appartenaient-ils et ayant une soudaine idée, il reprit son calepin et trouvant la manière dont la colline se couchait sur le paysage, sur la plage et de la présence des pieds qui la faisait paraître si insolite, il ouvrit son cahier et ressortit son crayon. Puis il dessina. De la même manière, tout d'abord ça ressemblait à un croquis puis il y ajouta les détails qui ajoutait le réalisme de la colline à son dessin.
Il grimpa par la suite sur le flanc de la colline pour voir à qui appartenait ces deux pieds et aussi pour lui montrer le dessin si insolite qu'il venait de capturer... En arrivant alors au sommet de la colline d'un pas silencieux, il se figea lorsque son regard tomba sur la jeune femme allongée sur le bord de la colline et semblant dormir. Il se figea à la manière des dessins qu'il couchait sur le papier, subjugué par tant de naturel et de charme qui se dégageait de la silhouette à même le sol de la colline. Il n'osait plus bouger, quelqu'un serait passer par là il aurait cru qu'on lui avait jeté un sort. Il resta immobile, son cahier pendant au bout de son bras, le crayon dans l'autre, et resta silencieux. Il voulu faire demi-tour pour ne pas troubler le sommeil de la jeune femme mais il ne pu même pas bouger ne serait-ce qu'un orteil. Il resta bloqué dans son immobilisme.

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Les yeux fermé elle chantonnais toujours toute seule dans son coin. La solitude était le seul sentiment qui émanait d'elle a ce moment précis. Elle ne voulais pas ouvrir les yeux mais d'un côté le soleil la capturais comme rien avant. L'attente de quelque chose d'important était le plus souvent insoutenable mais pourtant elle n'attendais rien alors pourquoi se sentait t'elle aussi mal. Elle n'avait rien vu de ce qui se passait en dessous comme lui qui était en train de dessiner, oui Jordan Sawyer l'homme pour qui elle avais des sentiments mais que tout ceci n'étais pas simple. Il était juste en dessous et elle ne voyais rien si elle l'avais su elle s'en aurais voulu d'ètre ainsi couché les yeux fermé au lieu de regarder cet homme qu'elle voyais si souvent mais au fond d'elle elle comparais sa a une rareté extraordinaire. Elle ne l'avais pas vu monter non plus aprés tout elle ne calculais rien de ce qui se passais autour d'elle mais vraiment rien elle préférais rester dans son nuage mais préfererais t'elle toujours rester au ciel alors que Jordan était juste dérrière elle ? C'est alors que comme toute personne normale elle sentit quelqu'un la regarder normalement elle n'y aurais rien sentit vu que plein de personne passe rien qu'en la regardant mais la plupart s'en vont juste aprés sans rien dire vraiment et donc elle ne prend pas la peine d'ouvrir les yeux pour savoir. Tout était calme autour d'elle, enfin elle n'entendais que la musique sortant de ses ecouteurs qu'elle avais dans les oreilles. Elle se decida enfin a se lever et se mis assise avant de retirer ses ecouteurs. Au début elle ne voulu pas se retourner de peur de qui était dérrière elle mais elle décida quand même de le faire. Qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle le vit immobile. Esque sa faisait lontemp qu'il était là ou non ? Elle s'en fichais il était là c'était le plus important. Elle lui fit un sourrire avant d'annonçer en remettant une mèche de ses cheveux en place pourquoi en sa présence elle ne savais plus quoi faire de ses dix doigts ?.

- Jordan ! Salut !

Le jeune homme, toujours immobile depuis il n'aurait su dire combien de temps exactement, ne faisait pas de bruit, ne prononçait pas une parole, il aurait même pu s'il avait tendu l'oreille entendre les oiseaux chanter. Mais au contraire, il ne saisissait pas leur chant pour les raisons que son corps mais également son cerveau semblait immobilisés, complètement statufié. Lorsqu'elle baissa ses éocuteurs et qu'elle se mit en position assise, il ne la vit pas. Toutes ses réactiosn, ses gestes étaient paralysés. Si seulement son frère Billy avait pu le voir en ce moment, il l'aurait vite débloqué en lui envoyant une belle bourrade dans la dos, avec laquelle Jordan aurait trébuché et sûrement atterrit les quatre fers en l'air, le nez dans la poussière. La honte !!! Mais heureusement il n'était pas là. Encore que au moins s'il avait été là, ça lui aurait permi de se débloquer que de rester ainsi immobile à ne pas savoir quoi faire, comme paralysé comme s'il avait vu une apparition surnaturelle. Encore que, il doutait bien de la consistance de cet être devant lui, allongée dans l'herbe. Comment tel être humain, comment telle personne si magnifique pouvait t-elle exister sur Terre ? Décidément, la Terre et le destin nous réservait bien des surprises ? Oui, ça c'était certain. Qu'est-ce qu'il l'avait pousser à venir jusqu'ici, à gravir cette colline? Le destin, ce prédicateur et gardien de toutes les destinés y était-il pour quelque chose ? Avait-il poussé ses pieds jusqu'ici. La jeune femme allongée et qui semblait dormir mais écoutait de la musique de toute évidence,... Jordan se reprit soudain. Allongée ? Non elle s'était assise et enlevait ses écouteurs. Bouge toi Jordan, réveille toi, ne reste pas ainsi, tu vas passer pour quoi à rester immobile à ne rien pouvoir faire ? Mais il ne pu pas bouger malgré ce qu'il était en train de penser. Lorsqu'elle lui ébaucha son plus beau sourire -enfin après tout c'était son impression- il sentit ses jambes défaillir et à la mèche qu'elle remis en place derrière son oreille, il y eut un déclic en lui, et il retrouva d'un coup toute sa liberté de mouvement. Mais pas question, il n pouvait toujours pas parler. Les mots, dès qu'ils venaient dans son esprit, s'en échappaient aussitôt. Elle lui parla, tout sourire lui dit : "Jordan ! Salut !". L'interpellé parut surprit. Comment connaissait-elle son nom?
Les mots lui revinrent. Un en particulier, que l'on disait chaque fois que l'on rencontrait du monde. Un mot.

- Bonjour.

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Ambre le vit perdu dans ses pensées. Et elle était partagé entre deux beauté celle de la mer et celle de l'homme dérrière elle. Façe a la mer elle se sentait tellement insignifiante et c'était ce qu'elle aimait dans cette sensation que le monde est plus grand que ce que l'on puisse penser... c'était tout simplement magnifique et la jeune femme avait tendance a se poser des questions pour un rien mais c'était dans sa nature et la question de l'eau venait toujours hanté son esprit. Qu'elle magnifique élément quand même surement le plus beau du moins pour elle. Près de l'eau tout changeait et surtout le climat alors qu'un vent frais soufflais et pourtant il ne faisait pas froid. Les cheveux d'Ambre lui venait un peu devant les yeux a cause de ce vent enfait. Mais il était vrai qu'entre ses deux beauté elle avait choisis de n'en regarder qu'une l'homme.
Tant de chose a dire sur lui qu'elle n'aurait pas assez d'une journée pour le dire, il était tout simplement la plus belle chose qu'elle voyais chaque jour et pourtant elle ne lui avait parler que rarement. Jordan Sawyer était là devant elle et il lui disait un misérable "bonjour". Elle baissa un instant les yeux, aprés tout surement ne se souvenait t'il pas du jour ou ils s'étaient rencontré ou surement était ce un rêve. Non ! Sa ne l'était pas au contraire. Elle avait rencontré a une soirée assez bizard mais ils n'avaient pas parler mais c'était là qu'elle l'avais remarqué. Elle avais demandé son prenom a une des filles qui était là. Voila pourquoi lui ne la connaissait pas. Ce qui ne l'aidait pas vraiment a sortir de sa timidité, vu qu'apparement il n'en avait rien a faire d'elle. Elle leva les yeux au ciel avant de riposter.

- Oh tu ne me connais surement plus, je suis Ambre Collins.

Co... Co... Jordan se donna une gifle mentalement. comment avait-elle pu prononcer une phrase entière alors que lui, lui n'avait pu dire qu'un seul mot. Cela lui paraissait évident. Chaque fois qu'il appréciait quelqu'un, ce n'était jamais réciproque, à part si son frère ou sa mère, ce qui réduisait rapidement le champ des possibilités, donc c'était normal que lui seul se sente gêné... Appréciait?! Dis donc Jordan, quelle modestie tu as parfois !!!.. Bon okay, ça pouvait parfois et ce jour-là ça l'était, dépasser la sympathie... Mais bon, après tout, c'était peut-être parce qu'il n'arrivait jamais à s'exprimer correctement, à l'exception de par les dessins ou en remettant sur feuille tout ce qu'il pensait dans des histoires ou des poèmes... Enfin bref, quoiqu'il en soit, si Billy avait été là, il lui dirait sûrement qu'il noyait le poisson dans l'eau. La voix cristalline de la jeune fille résonna jusqu'au fond de son esprit, et sembla traverser en les réveillant d'un doux sommeil toutes les parcelles de son corps, son être tout entier. Il crut lire dans sa voix une certaine déception mais que pouvait-il y faire s"il ne ne la connaissait pas avant, ce n'était pas de sa faute. Il venait d'arriver et il ne connaissait d'ailleurs personne. Mais... Elle avait dit quoi? Plus? Qu'il ne la connaissait sans doute plus? Il l'avait déjà vue? Il avait beau chercher il n'avait pas souvenir de l'avoir déjà rencontré. Et il était quand même certain que s'il l'avait déjà vu, il... s'en serait souvenu !!! Mais là, le vide totale. Il avait beau chercher au plus profond de son cerveau, son nom ne lui disait rien et il n'avait pas l'impression de l'avoir rencontré. Il s'en serait souvenu c'était certain !!!
Ambre Collins? Non, ça ne lui disait rien. il ne voulait pas plus la décevoir, il ne savait donc pas quoi lui répondre. Il hésitait. Pourtant, le plus simple était de dire la vérité... Mais peut-être n'était-ce pas ce qu'il devait faire?
Peu importe, mentir ne fait pas partie de moi.

- Enchantée Ambre, dit-il enfin.

Puis, il ajouta d'une voix les plus sincères :

- Je suis vraiment désolé, mais je n'ai pas souvenir t'avoir déjà rencontré quelque part... Est-ce que... Enfin, je ne me souviens pas dans quel endroit j'ai pu te voir...

Il était assez gêné de poser cette question et avait honte, de s'il l'avait déjà rencontré quelque part, de ne plus s'en souvenir... Mais, il n'y pouvait rien.

Invité

La journée passe et se ressemble, toute les mêmes sans aucune exeptions. Des journées qui font mal, qui font souffrir. Même pas une journée qu'elle avais vécus tranquillement depuis la mort de ses amies, elle se sentait déjà cruellement seule, abandonné. Ses pensées se bousculant dans sa tête comme des gens dans un aéroport. Tout était confus, tout était horrible. Elle ne voyais aucunement le pourquoi elle se trouvais là et plus roxanne et Amy. Pourquoi repensait t'elle a tout ça ? Tout simplement car le première fois qu'elle avais vu Jordan c'était grâçe a elles. Bon simplement il ne se souvenais pas d'elle comment devais t'elle le prendre ? Elle n'en avais aucune idée.

Curieusement elle s'en était douté, elle savais qu'elle ne lui avais pas plut donc par conséquent elle qui le trouvais trop charmant avait demandé a Amy et Roxy comment se nommais t'il et lui n'y voyant aucune autre histoire n'en avais eu rien a faire. Sa faisait plaisir ceci dit, il ne se rappelais même pas qu'elle était l'amie de Roxy et Amy. Quand il était arrivé, son prenom était sortit tout seul car elle le savais et elle trouvais le fait étonnant qu'il soit juste dérrière elle... C'était l'effet de surprise si l'on puis dire comme ça.

- Amy et Roxanne, un jour je t'avais vu avec elle et elles avaient prononçé ton prenom ... Voila comment je le sais et je ne te connait que par rapport a elles.

Elle baissa la tête evitant le regard de Jordan, elle ne voulais pas le regarder, parler et penser des filles lui avait fait trop mal. Elle déglutit peur de se mettre a pleurer c'est là qu'elle se rendit compte qu'elle était encore trop fragile pour passé a autre chose, elle qui pensait avoir surmonter le cap. Elle lança son regard au loin restant a regarder dans le vide, une envie de se tuer subite elle aurais pu sauter et les rejoindres.

[HJ : Je suis vraiment désolée de ne pas avoir pu te répondre plus tôt]

A ces paroles, Jordan se sentit envahit d'une sueur froide et d'un sentiment de vide corporel et ses souvenirs, qui semblaient s'être envolés, lui revinrent subitement et le prirent au dépourvu en lui ôtant son souffle, sa respiration, sa capacité à réfléchir et il faillit vaciller en entendant deux noms qu'il avait connu, ceux d'Amy et Roxanne. Amy, Roxanne, où était-elle? Il les avait connu c'est vrai il y avait quelques mois après qu'il soit arrivé ici, du moins dans l'autre campus qui s'était situé pas si loin de celui-ci, et qui avait été remplacé par celui-là. Amy et Roxanne... Oui, elles étaient.. Le mot même restait coincé dans sa gorge..., ou quelque part dans son cerveau, incapable d'aller plus loin. Il détourna le regard un moment, puisant au fond de lui pour rassembler ses forces, les réunir pour parvenir de nouveau à regarder vers Ambre, sans ciller, sans larmes perlant aux yeux, sans rien, en restant neutre... Il avait su être fort jusque là, il avait su conserver sa volonté de noyer son chagrin dans l'écriture et le dessin, ces deux passions l'avait sauvé, l'imagination l'avait préservé. Et maintenant, ces paroles, ces deux prénoms prononcés par Ambre, cette jeune femme qu'il avait eu honte, et qu'il avait toujours honte de ne pas s'en souvenir, ni même de son nom, ni même de ses yeux, ni même des traits de son visage qu'il aurait pu là, tracé, dessiné les yeux fermés sur son cahier, en ne l'ayant vu qu'une fois... Maintenant qu'elle avait prononcé ces deux noms, et que tout lui était revenu avec la force qu'un coup qu'il aurait reçu au ventre avait crée, et que, de douleur il s'était plié en deux..., complètement brisé de l'extérieur et de l'intérieur, il se sentait encore plus misérable. Sans s'en rendre compte, ses mains tremblèrent et son cahier tomba dans l'herbe où il s'ouvrit sur un paysage de soleil couchant. Il ne fit aucun geste pour le ramasser...

- Je..., répondit-il d'une voix qui reflétait son état d'esprit. Amy et Roxanne?... Oui je... Tu les connais... ssais aussi... Je suis désolée, je suis vraiment un idiot...

Il s'aperçut alors que son cahier était tombé se baissa pour le ramasser. Il se releva en ajoutant.

- Je suis vraiment un idiot de t'avoir fait te parler de ça, c'est déjà assez dur comme ça...

Mais il ne sut pas si elle l'avait entendu car son regard semblait à présent perdue dans le vide, et il y avait une lueur dans son regard... qui effraya Jordan, non pas dans le sens qu'elle lui faisait peur, mais c'était plutôt ce qu'il sembla y voir qui l'effraya.

- Ambre?

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